Grâce à theonering.net, Une Chic Geek a pu assister à l’avant-première de « Le Hobbit : La désolation de Smaug » qui se déroulait au cinéma Star Cité, hier soir à 19h. Ayant loupé le premier volet, Le Hobbit un voyage inattendu, j’ai choisi pour m’accompagner une fan de la première trilogie. Manque de pot, elle avait aussi loupé le premier Hobbit. Comme quoi le petit nain s’était bien caché.
Nous voilà parties à l’avant-première sans avoir eu le temps de lire le résumé…..
En arrivant, nous avons eu droit à l’accueil chaleureux d’une jeune équipe de charmants jeunes (trop jeunes) hommes qui nous ont remis nos places, suivi d’un passage par le Burger King avant de s’installer confortablement au fond de nos sièges.
Une fois les forces prises, la soirée commence avec une remise de cadeaux aux personnes étant venues assister à la projection déguisées. « Eh merdouille Marie! On a oublié les oreilles d’elfes au boulot! » On a loupé un tee-shirt, un mug et un poster…
Une fois que le film commence (sans pub…trop bien!) on chausse les lunettes 3D et nous voilà vite plongées dans l’univers de Bilbon Sacquet et de sa bande de copains nains qui continue leur épopée vers la cité d’Erebor pour tuer le Smaug et récupérer l’Arkenstone.
On est contentes de retrouver l’anneau, laissé il y a dix ans, dans la poche de Bilbon qui le manie avec brio… Une petite mention spéciale à la réplique culte du film « Libérez les poneys !!! » #insidejoke
Nos hormones ont ensuite été satisfaites quand une flèche a traversé l’écran. Je me disais : « Non ça peut pas être lui? » Et bien si, Orlando Blum est lààà !!!! Et la cerise sur le gâteau, est quand il va à la rencontre de son père, qui n’est autre que Jared Leto. Eh oui, de quoi mettre mon petit cœur aux aguets de la moindre apparition de ces beaux gosses.
Sinon plus sérieusement, l’adaptation du livre de Tolkien, Le Hobbit est époustouflante. Peter Jackson a su donner une dimension exceptionnelle, dans des décors éblouissants et des batailles pleines d’acrobaties.
L’histoire est très bien mise en scène, de l’action en veux-tu en voilà qui nous garde en haleine jusqu’à la fin.
Les fans du roman noteront l’apparition d’un personnage féminin qui n’existe pas dans le livre, Tauriel, une elfe prenant les traits d’Evangeline Lilly. Cette dernière est au centre d’un triangle amoureux où le nain Kily se retrouve face à Legolas (Orlando Bloom). Perso, à sa place je n’hésiterais pas.
En conclusion, je vous laisse il faut que j’aille voir le premier volet et j’attends le troisième avec impatience.
Le mot de la fin de Marie :
Après avoir rechigné à trainer mes petites pattes jusqu’au métro Viau qui, il faut bien le dire, est à l’autre bout du monde, je me suis finalement laissée tenter et c’est sans regret !
Deux heures et demie intenses de 3D qui ne m’a même pas retourné l’estomac, sursauts, action, exploits, beaux paysages et autres vues délicieuses.
Évidemment ma réplique culte est celle des poneys, mais sachez également que 100 ans pour un elfe ne sont qu’un battement de cils. Oubliez-moi un instant, j’ai 600 ans à passer dans le lit de Legolas.